La langue française est friande de ces mots que l’on appelle acronymes, maladie typiquement française paraît-il et notre établissement n’échappe pas à cette épidémie. Il suffit, pour s’en convaincre, de se pencher sur le glossaire ANPE-ASSEDIC-INP rédigé lors de la fusion. Depuis peu, un nouvel arrivé dans ce monde abrégé fait des « ravages » chez Pôle Emploi et au-delà de notre sphère professionnelle : les dénommés RPS. Pas un psy, pas un DRH, pas un chercheur en sciences humaines, pas un élu du personnel, pas un syndicaliste qui n’ait à un moment ou à un autre été confronté à ce problème.
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